TECHNIQUE
IRM Tesla
– Séquences avant injection de produit de contraste : coronales T1, T2, sagittale T1 sur la région hypophysaire
– Séquences après injection de produit de contraste : coronale T1 (dynamiques et tardives)
RÉSULTATS
Antéhypophyse de taille et de morphologie normales, de signal homogène
Pas d’anomalie focale après injection de gadolinium
Post-hypophyse en hypersignal spontané T1, d’aspect normal
Respect du diaphragme et du plancher sellaire
Pas d’anomalie des loges caverneuses
Intégrité des citernes supra-sellaires et opto-chiasmatiques
Bonne aération du sinus sphénoïdal
Chiasma optique d’aspect normal
Extension en hauteur par rapport à l’isthme, rétention
Extension aux paramètres (proximal – distal) (IIB / IIIB): perte du liseré en hyposignal du stroma, tumeur bombant dans les paramètres, interface irrégulière tumeur/paramètre
> 1000 : embryon tjs visible par voie endovaginale
> 2500 : visible par voie sus pubienne
> 7000 : toujours visible. Et vésicule vitelline visible
Embryon
Embryon > 4 mm doit avoir activité cardiaque
Sac > 10 mm : vésicule doit être vue
Sac > 16mm : embryon doit être vu
Sac > 20mm sans embryon : œuf clair
Critères non évolutivité : embryon > 5 mm sans activité cardique, sac > 20 mm sans embryon, embryon non visible ou < 5 mm sans croissance sur 2 écho à 8j d’intervalle
Mesure de la longueur cranio caudal (LCC) avant 14 semaines d’aménorrhée ( SA)
/!\ Ces valeurs sont une estimation /!\
(Cf. SAlomon LJ. Comment déterminer la date de début de grossesse ? Recommandations pour la pratique clinique J Gynecol Obstet Biol Reprod, 2011.40:726-33)
siège au niveau de la plèvre, des scissures et des espaces péri-broncho-vasculaires
association à des adénopathies, un épaississement global des espaces péri-broncho-vasculaires
lignes septales (de morphologie polygonale soulignant l’unité fondamentale du poumon entourée de plèvre (et donc de lymphatiques), le lobule secondaire de Miller).
Chez les patients ambulatoires, l’examen n’est justifié que si la probabilité clinique est forte (calculer le score) ou les D-dimères supérieurs à 500 μg/L.
Si la probabilité clinique est forte, doser les d-dimères est inutile car même normaux, ils n’excluent pas le diagnostic
Score de genève
Age > 65 ans
1
Antécédent de TVP ou d’EP
3
Chirurgie (sous anesthésie générale) ou fracture m.inf, dans le mois
2
Affection maligne, solide ou hématologique, active ou guérie depuis moins d’un an
2
Douleur unilatérale d’un membre inférieur
3
Hémoptysie
2
Douleur à la palpation veineuse profonde du m. inf. et œdème unilatéral
4
Hz cardiaque [75-94]
3
Hz cardiaque > 95
5
0-3 : faible
4-10 : moyenne [4-10]
≥ 11 : forte
Technique
Rehaussement artériel pulmonaire de bonne qualité / sous optimale / médiocre
Critères de qualité :
Mesure de l’atténuation dans le tronc pulmonaire > 250UH
Rehaussement des cavités droites > aux cavités gauches
Critères sémiologiques d’embolie pulmonaire
Lacunes artérielles pulmonaires
Uni ou bilatérale
Tronculaires / lobaires / segmentaires ou sous segmentaires
Retentissement sur le ventricule droit : mesure du rapport VD/VG (surmortalité si > 0,9)
Complication : infarctus pulminaire
Condensation périphérique juxta pleurale ou juxta scissurale
TECHNIQUE
– Séquences avant injection de produit de contraste gadoliné : axiale FLAIR, T2*, diffusion, T1
– Séquences après injection de produit de contraste gadoliné : axiale T1, 3DT1
RÉSULTATS Structures médianes en place.
Pas d’anomalie du signal FLAIR du parenchyme cérébral sus ou sous tentoriel.
Quelques hypersignaux FLAIR de la substance blanche péri-ventriculaire, non confluents, aspécifiques.
Pas de stigmates hémorragiques intra ou extra axiaux en pondération T2*.
Pas d’hypersignal de diffusion du parenchyme cérébral.
Absence de prise de contraste cérébrale sus ou sous tentorielle suspecte.
Les structures veineuses sont perméables
CONCLUSION Absence d’anomalie décelée
Iconographie mise à disposition sous forme de planche papier et conservée localement sur le PACS.
IRM ENCEPHALIQUE ET DES CONDUITS AUDITIFS INTERNES
CONTEXTE
Bilan
TECHNIQUE
– Séquences axiales sur l’encéphale : FLAIR, T1, diffusion
– Séquence 3D : T2 centrée sur les angles ponto-cérebelleux.
– Séquences après injection de gadolinium : 3DT1 (en écho de gradient), T1
RESULTATS
Présences de quatre nerfs dans les conduits auditifs internes.
Angles ponto-cérebelleux libres.
Pas d’anomalie de signal ou de morphologie endolabyrinthique.
Structures médianes en place.
Pas d’anomalie du signal FLAIR du parenchyme cérébral sus ou sous tentoriel.
Quelques hypersignaux FLAIR de la substance blanche péri-ventriculaire, non confluents, aspécifiques.
Pas d’hypersignal de diffusion du parenchyme cérébral.
Pas de prise de contraste suspecte
Pas d’hydrocéphalie.
CONCLUSION Absence d’anomalie décelée
Iconographie mise à disposition sous forme de planche papier et conservée localement sur le PACS.
Pourquoi MatLab et pas un autre langage ?? => nous ne sommes pas programmateurs !
Présentation générale
Le menu du haut est similaire à la plupart des programmes
Le dossier de travail, est le dossier où sont contenus vos fichiers DICOM, images, données, etc.
La fenêtre de commande est l’espace où l’on tape les lignes de commande qui exécutent des actions
La fenêtre de mémoire de travail affiche le nom des constantes contenant les valeurs générées par le programme, leur taille et leur type de contenu
La fenêtre d’historique répertorie toutes vos dernières actions
Pour bien commencer avec MatLab
Il faut d’abord se placer dans son dossier de travail dans la fenêtre de gauche en cliquant sur la double flèche <<
Celui-ci contient les fichiers que vous souhaitez traiter
Nous allons ensuite demander à MatLab d’effectuer quelques petits calculs pour se familiariser avec son utilisation
Opérations numériques classiques
Commençons par la base de la base. Faire une addition. Rien de plus simple. Il faut considérer que MatLab n’est rien de plus qu’une supercalculette.
Dans la fenêtre de commandes nous allons lui demander de résoudre 36 + 44 (je sais que vous avez déjà trouvé la réponse !)
Pour cela il suffit de taper 36 + 44 dans la fenêtre de commande
>> 36 + 44
ans =
80
Quand je disais que c’est facile de programmer, maintenant vous me croyez
Vous pouvez aussi soustraire, multiplier ou diviser
Deux remarques à ce niveau :
MatLab est un logiciel anglo-saxon, les virgules sont remplacées par des points
Le signe de la multiplication est l’étoile *
>> 34-52
ans =
-18
>> 1.5 * 4
ans =
6
>> 12 / 4
ans =
3
Combinons les opérations
xemple :
>> 1 - (2 + 5.2)*10 / (5^3)
ans =
0.4240
Stocker une variable de travail
Bon, c’est intéressant de pouvoir faire des opérations numériques, mais il faut bien ranger les résultats quelque part si on veut pouvoir les réutiliser après (à moins d’avoir une mémoire d’ordinateur, ce qui n’est généralement pas le cas)
Nous allons donc stocker les résultats dans ce qu’on appelle des « variables »
Pour comprendre la suite, il faut assimiler trois notions très simples. Considérons qu’une variable soit un pot, rangé sur une étagère de cuisine.
Une variable a un nom unique sensible à la casse, c’est l ’étiquette qui est collée sur le pot (les majuscules sont prises en compte, Sel n’est pas sel)
Une variable à un type, c’est la forme du pot, qui du coup ne peut pas contenir n’importe quel contenu (en fait on indique si la variable contiendra des nombres entiers, des nombres réels, du texte ou autre chose, ceci conditionnera la quantité de mémoire utilisée par votre ordinateur pour stocker votre variable)
Une variable à un contenu dont vous pouvez récupérer la valeur à n’importe quel moment. Je peux décider d’ouvrir mon pot et de prendre du Sel
Tout ça n’est qu’une question de gout
Par exemple nous allons stocker dans la variable nommée A la valeur de l’opération à droite du signe =
Notez que ^ correspond à la mise en puissance. Ici 5 à la puissance 3
La variable A contient la valeur 0.4240
Pour interroger MatLab et connaitre la valeur de A, il suffit de taper A
On peut ensuite combiner les opérations comme avec B
>> A = 1 - (2 + 5.2)*10 / (5^3)
A =
0.4240
>> A
A =
0.4240
>> B = 2 * A
B =
0.8480
Lire une image DICOM avec MatLab
Bon, tout ça c’est très bien me direz vous, mais quel rapport avec la radiologie ?
J’y viens
En imagerie médicale, les images générées par les modalités sont dans un format particulier nommé DICOM
Chaque fichier image a pour particularité de contenir systématiquement 2 informations
Le header, une partie textuelle qui contient le nom du patient, son age, la modalité, etc
L’image en elle-même, généralement en noir et blanc, non compressée
Pour lire une image DICOM entièrement, il faut donc lire ces 2 informations
Arrivé ici, vous savez faires quelques opérations simples avec MatLab et stocker vos résultats en mémoire. Je vous conseille de bien vous familiariser avec ces notions avant de passer à ce qui suit.
Nous allons apprendre à lire un fichier DICOM. Si vous ne savez pas ce qu’est un fichier DICOM, disons que c’est le fichier qui contient votre image médicale. Il est constitué de 2 parties. La première appelée header contient les informations concernant votre patient et l’examen (NOM, AGE, MODALITE, DATE DE L’EXAMEN, etc.).
La seconde contient l’image en elle-même. Elle est stockée sous la forme d’une matrice et chaque pixel est codé sous la forme d’un nombre.
Placez vous dans le dossier contenant votre fichier. Tapez la commande suivante. Votre image est alors décodée.
>> dicomread(’image_528.dcm')
17 12 18 16 14 19 19 13 13 13 16 10 16 15
17 17 20 12 14 16 15 14 17 15 21 20 12 16
12 14 19 19 14 17 18 10 16 16 17 23 15 20
11 16 13 20 16 13 13 13 13 21 15 18 18 16
14 15 14 15 13 21 15 15 21 10 16 15 10 16
15 20 14 13 13 20 14 11 11 17 14 17 19 19
13 15 19 12 14 15 12 16 17 17 13 19 17 19
15 20 14 18 17 13 17 17 15 16 17 10 15 13
12 19 14 19 11 16 14 15 14 17 14 16 21 8
10 23 15 18 15 14 15 13 14 16 16 18 17 10
19 11 15 19 16 13 18
Si vous rajoutez « ; » à la fin, l’image est lue mais MatLab n’affiche pas les valeurs de tous les pixels
>> dicomread(’image_528.dcm');
>>
L’image est lue mais pas stockée
>> A = dicomread('image_528.dcm');
>>
La variable A contient l’image lue
Bravo ! Vous venez de lire votre première image DICOM
Peaufinons un peu la technique
Commençons par la ranger dans une variable pour pouvoir la réutiliser
>> image1 = dicomread(’image_528.dcm’)
Ensuite, pas besoin d’afficher le contenu sous forme de chiffres. Nous pouvons cacher le résultat de la lecture en terminant les commandes par ;
>> image1 = dicomread(’image_528.dcm’);
Regardez dans le la mémoire de travail en haut à droite, vous devez voir apparaître votre image. On peut y lire son nombre, la taille de la matrice et le type (Cf. Stocker une variable)
Afficher une image
>> imshow(image1,’DisplayRange’,[])
>>
hop
>> imagesc(A)
>>
A suivre…
Prochaine étape : réaliser une soustraction
Si vous avez des questions ajoutez un commentaire à cet article
Angle de Dijan-Annonier d’ouverture de l’avant pied
Angle mesuré entrela droite passant par le point le plus antérieur du calcanéus, le point le plus inférieur du calcanéus et le rebord inférieur du sésamoïde de l’hallux
Vous ne le savez peut être pas encore, mais sur Excel vous avez la possibilité de faire toutes vos statistiques. Et ça, c’est bien pratique quand on rédige une thèse, un mémoire ou un article scientifique. (Je n’ai aucun conflit d’intérêt à déclarer avec la société Microsoft®)
Présentation d’excel
C’est quoi, Excel ?
Excel est un tableur créé par la société Microsoft®. Il a été conçu sous forme de cellules repérées grâce à l’adressage (Cf. « adressage »).
Il est très pratique pour faire des calculs, des tableaux, et des graphiques.
La sémAntique Excel
Un document Excel est appelé classeur.
Chaque classeur possède trois feuilles de calcul par défaut, on peut les voir en bas à gauche du classeur. On peut ajouter des feuilles à sa guise en cliquant sur ce bouton :
L’adressage
C’est simplement le nom d’une cellule définie par la lettre de sa colonne puis le chiffre de sa ligne.
Sur l’image ci-après la cellule F7.
Lorsque vous êtes dans une cellule, ses coordonnées (par exemple, F7) se colorient en orange dans les barres (en haut et à gauche).
Astuce Excel
Imaginons que vous vouliez remplir rapidement une colonne avec une succession de chiffres (ou de dates). Rentrez les deux ou trois premiers.
Sélectionnez les cases à répéter. Cliquez sur la petite croix (le petit +) en bas à droite des cases sélectionnées. Tirez vers le bas. Relâchez.
Vos cellules sont remplies automatiquement.
Cette astuces marche avec de multiples combinaisons. A vous de tester.
Les formules Excel
Excel permet de simplifier les calculs et de les modifier facilement. Nous allons commencer par du super simple avec de complexifier les choses. Dans ce tutoriel vous allez créer une feuille de calcul qui contient des données issues de l’analyse de vos patients. Imaginons que vous avez placé des ROI dans 6 zones chez 7 patients différents. Vous avez ensuite entré les valeurs de ces ROI dans un tableau comme suit.
Moyenne
Nous allons extraire un maximum d’informations de ces données grâce aux formules proposées par Excel. Et vous allez voir que vous n’avez pas besoin d’un logiciel de statistiques plus complexe. Commençons par calculer la moyenne des valeurs obtenues par les ROI. Créer une nouvelle colonne que vous appelez moyenne.
Vous cliquez ensuite dans la première case de la colonne. Vous tapez « =MOYENNE« . Les parenthèses s’ajoutent toutes seules.
Ensuite vous sélectionnez toutes les cellules qui doivent être prise en compte pour le calcul de la moyenne. Et surtout vous appuyez sur ENTREE lorsque c’est fini.
Ensuite vous cliquez dans le coin en bas à droite de la première case calculée et vous tirez vers le bas. Excel calcule toutes les autres moyennes des autres lignes. Rapide, efficace. Tout ce qu’on aime
Somme
On peut décliner le principe avec la somme : « =SOMME() »
Ecart-type
Ou encore le calcul de l’écart-type aussi appelé déviation standard : « =ECARTYPE() »
Plus « compliqué » : t-test
Imaginons que l’on souhaite réaliser un test apparié pour comparer deux méthodes d’imagerie. On va réaliser un t-test. Pour cela il faut faire deux colonnes contenant les deux méthodes à comparer entre elles. Chaque ligne est une observation réalisée pour chaque méthode.
Comme pour les formules précédentes, on tape « =T.TEST« . Il faut indiquer 4 argumentsà Excel. Le premier la méthode 1, le deuxième la méthode 2, 1 pour unilatéral et 2 pour bilatéral puis 1 car les observations sont pairées.
Dans cet exemple, la différence n’est pas significative.
Dans cet exemple, la différence est significative.
Conclusion
C’est relativement simple de faire ses statistiques sur Excel car le logiciel contient la plupart des fonctions de base pour l’écriture d’un papier. Par ailleurs on le trouve plus facilement que des logiciels plus complexes. Enfin, des milliers de tutoriaux sont disponibles sur internet donc un coup de main est plus rapide à trouver.